manif
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manif
Bon b nicolas thomas et moi on y étaient !! Tout devant a tenir la banderole! Je crois qu'il y avait que nous de la classe.Donc on est parti du capitole ou yavait jamel debouze qui est venu nous soutenir, puis on a continué pour aller jusqu'a jeanne d'arc (on devait s'areter la normalement) et on a fini a esquirol! voila! on étaient de deux a trois milles selon les sources dont 70% de lycéen ce qui prouvent qu'on étaient assez mobilisé! voila
Re: manif
c qan le prochain blocus 2main ou mardi
(-_-')- faux branleur
- Messages : 35
Date d'inscription : 12/11/2007
Age : 32
Re: manif
mardi il y a un nouvo blokus ! fo ke tt le monde se sente concerné et ce mobilise (apré chakun son poin de vue ) mai surtou allé pa o controle de math silvou plé dc voila kis a tous
<B nico <B- travailleur
- Messages : 4
Date d'inscription : 22/10/2007
Re: manif
voila l'article de la dépéche :
La presque moitié des 1500 lycéens de Pierre-Paul-Riquet a été inocculée hier par le virus de la contestation estudiantine contre la loi Pécresse sur la réforme des universités. La veille au soir, les lycéens avaient voté à mains levées la grève des cours. De son côté, le proviseur Donnadieu laissait lui la porte ouverte aux non-grévistes. Camille, la voix en charpie faute de mégaphone, une des meneuses du bal des contestataires, rejettait d'ailleurs cette attitude de l'autorité scolaire: «Ouvrir les portes, c'est un peu refermer le débat.» Une Camille qui ne cachait pas sa crainte, avant que ne sonne hier matin après 8 heures le début du sitting contre les projets de la ministre de l'Enseignement supérieur, que la peur de la prise de position de moult lycéens ne brise la vague contestataire sur la roche de la déception: «Il y a une vraie prise de conscience. Certains élèves ont dépassé les limites fixées par leurs parents et le lycée.»
A plus de six mois du bacho pour les terminales, encore plus pour les premières et les terminales, les lycéens grévistes ont manifesté hier une vraie inquiétude sur leur avenir, après avoir lu, décodé et mal digéré les projets de Valérie Pécresse. Lydia, membre des Jeunesses communistes, hissait le drapeau rouge vif: «Pensons à nous mais aussi aux générations futures. Si cette réforme passe, les frais d'inscriptions à la fac vont augmenter, les universités vont être contrôlées par les entreprises. Ce sera alors la loi du marché qui va fixer notre avenir scolaire. La vie de la faculté sera dictée par l'économie et le profit. Ce sera une grande régression sociale.»
Lydia, pour soutenir et densifier le mouvement, a fait appel à un camarade politique, Naiké, étudiant gréviste en 2e année de psycho au Mirail: «Il était important que je vienne pour qu'ils ne se sentent pas seuls et que je leur commuique toutes les informations sur la fermeture admnistrative du Mirail. Contre le CPE, le lycée de Saint-Orens s'était déjà bien mobilisé. Ils le sont encore aujourd'hui. Dans ce mouvement social, chacun peut apporter sa pierre. Ensuite, il faut unifier le mouvement.»
Michèle et Solenne, apolitiques mais solidaires de la gronde, ne cachent pas leurs angoisses: «Il faut faire remonter aux oreilles des lycéens tout ce que cette loi pourrait engendrer: la sélection par l'argent et la préinscription à l'université des bacheliers qui ferait craindre là aussi une autre forme de sélection.»
10 heures sonnent, les élèves non-grévistes sortent des classes. «La fac, c'est encore un peu loin. J'étais bien sûr au courant de cette grève. J'en ai parlé à mes parents, ils voulaient savoir comment et par qui elle était organisée», explique Lora, lycéenne en seconde. Marion, en seconde aussi, surrenchérit: «Mes parents ne m'ont pas influencée. Ils me disent d'avoir mon opinion. Je n'ai pas fait grève.»
Pendant ce temps, Camille récupère un peu de voix: «Bon, allez, on prend les bus, on rejoint les grévistes du lycée Saint-Sernin et direction place du Capitole pour la grande manifestation.» Pour une marche constestataire .
fo qe lon fasse mieu 2main...
La presque moitié des 1500 lycéens de Pierre-Paul-Riquet a été inocculée hier par le virus de la contestation estudiantine contre la loi Pécresse sur la réforme des universités. La veille au soir, les lycéens avaient voté à mains levées la grève des cours. De son côté, le proviseur Donnadieu laissait lui la porte ouverte aux non-grévistes. Camille, la voix en charpie faute de mégaphone, une des meneuses du bal des contestataires, rejettait d'ailleurs cette attitude de l'autorité scolaire: «Ouvrir les portes, c'est un peu refermer le débat.» Une Camille qui ne cachait pas sa crainte, avant que ne sonne hier matin après 8 heures le début du sitting contre les projets de la ministre de l'Enseignement supérieur, que la peur de la prise de position de moult lycéens ne brise la vague contestataire sur la roche de la déception: «Il y a une vraie prise de conscience. Certains élèves ont dépassé les limites fixées par leurs parents et le lycée.»
A plus de six mois du bacho pour les terminales, encore plus pour les premières et les terminales, les lycéens grévistes ont manifesté hier une vraie inquiétude sur leur avenir, après avoir lu, décodé et mal digéré les projets de Valérie Pécresse. Lydia, membre des Jeunesses communistes, hissait le drapeau rouge vif: «Pensons à nous mais aussi aux générations futures. Si cette réforme passe, les frais d'inscriptions à la fac vont augmenter, les universités vont être contrôlées par les entreprises. Ce sera alors la loi du marché qui va fixer notre avenir scolaire. La vie de la faculté sera dictée par l'économie et le profit. Ce sera une grande régression sociale.»
Lydia, pour soutenir et densifier le mouvement, a fait appel à un camarade politique, Naiké, étudiant gréviste en 2e année de psycho au Mirail: «Il était important que je vienne pour qu'ils ne se sentent pas seuls et que je leur commuique toutes les informations sur la fermeture admnistrative du Mirail. Contre le CPE, le lycée de Saint-Orens s'était déjà bien mobilisé. Ils le sont encore aujourd'hui. Dans ce mouvement social, chacun peut apporter sa pierre. Ensuite, il faut unifier le mouvement.»
Michèle et Solenne, apolitiques mais solidaires de la gronde, ne cachent pas leurs angoisses: «Il faut faire remonter aux oreilles des lycéens tout ce que cette loi pourrait engendrer: la sélection par l'argent et la préinscription à l'université des bacheliers qui ferait craindre là aussi une autre forme de sélection.»
10 heures sonnent, les élèves non-grévistes sortent des classes. «La fac, c'est encore un peu loin. J'étais bien sûr au courant de cette grève. J'en ai parlé à mes parents, ils voulaient savoir comment et par qui elle était organisée», explique Lora, lycéenne en seconde. Marion, en seconde aussi, surrenchérit: «Mes parents ne m'ont pas influencée. Ils me disent d'avoir mon opinion. Je n'ai pas fait grève.»
Pendant ce temps, Camille récupère un peu de voix: «Bon, allez, on prend les bus, on rejoint les grévistes du lycée Saint-Sernin et direction place du Capitole pour la grande manifestation.» Pour une marche constestataire .
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